Albator et le petit pou ...

1000 excuses tout d'abord à la personne qui se reconnaîtra ... Albator n'est pas brun ... Pas blond non plus tout au plus chatain ... mais pas roux ... Non ça non ça se saurait ...
Pourquoi Albator à la place du concombre masqué ? Mais qui tient le stylo dans cette turne ... C'est l'bordel comme le dirait ma copine Tatoune ! Et elle aurait raison.
Alors voilà l'histoire. Pour ceux qui suivent mes périgrinations on the blog, récemment je fus agressé. Petit travail de dentelle au front avec fil et aiguille, et maintenant me voilà avec une balafre de 4 centimétres en plein milieu ! Mes amis et ceux qui ne me connaissent pas ont donc décidé de me baptiser "Albator. C'est vrai que comme lui je suis un gentil petit corsaire au coeur d'or. Mais un peu plus vieux tout de même ! Quoi que les héros comme Tintin ( à qui je ressemble plus ) ou bien encore Albator n'ont pas d'âge. Alors oublions le mien. Voilà on n'en parlera plus ici...
Albator ,donc suite et fin de ses aventures avec le petit pou bordelais !

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Pourquoi un tel surnom pour Christophe, que quelque part j'aime un peu beaucoup ?

Parce que ledit jeune homme est de Bordeaux. Et un bordelais se prend toujours au sérieux. A l'époque où nous étions ensemble, moi qui suis souvent vindicatif et sûr de moi, je m'étais transformé en quelqu'un de toujours d'accord, conciliant et tutti quanti. Même mes amis m'en faisaient la remarque. Et Christophe, lui continuait de se comporter comme le bordelais qui va envahir le monde parce que c'est lui et qu'il a raison. Je ne vous raconterais pas l'épisode du BHV ou bien encore la mauvaise fois qui le caractérisait, quand il disait à sa mère au téléphone que de toute façon il ne ferait pas ses achats de Noël à Paris, mais plutôt à Bordeaux. A Paris on ne trouvait rien et de plus les magasins fermaient tôt ... Bref beaucoup de ces scénes lui ont valu le surnom de petit pou, que même mercredi, lors de notre première vraie rencontre j'ai réussi à recaser !!!

Sinon le reste de la journée avec lui fut bonne. Plus dur fut le retour à la case maison. Je me suis rendu compte que je tenais encore à lui. Qu'il était une barrière pour que je puisse construire autre chose avec quelqu'un. J'ai eu beaucoup de pluie qui est venue, comme par hasard, échouer entre mes yeux et mes lunettes ...

J'ai pensé.
J'ai réfléchi.
Je suis resorti accompagner un proche à la gare de Lyon ...          

Il y a avait quelqu'un que j'aurais aimé croiser ... Juste pour voir ...
Mais avec ça comme indice :-(

Puis suis allé prendre un verre furtif avec des amis.
Mais comme le Marais me saoûle et qu'ils y ont leurs habitudes je suis vite rentré.
Pour être seul.
Avec moi-même.
Avec mes convictions.
J'ai laissé un message à J., la personne avec qui il se passait quelque chose ces dernières semaines.
Puis dodo !

Plus tard la suite!