Johnny et Orlando ...

Boulot, boulot...
"Le nain, tu prends la caméra et tu vas faire l'interview des pirates des Caraïbes"
Les filles en extase.
Mes copains gays en pâmoison.
Bref tout le monde autour de moi en ébullition.
Oki Doki.
J'y go.
Mais pas plus que cela ...
Et me voilà dans Paris avec Johnny, Orlando et Jerry (Bruckheimer le producteur).
Respect pour le dernier, sur 14 séries qui cartonnent aux USA, 9 ont été produites par lui.
Sinon pour les deux autres...
Bof !
Johnny était plus craspec que d'habitude.
Vanessa donnerait l'impression d'être enceinte si elle mangeait un pois chiche.
Et Orlando sans maquillage est beaucoup craquant qu'il n'y paraît.
Bref merci la magie du cinéma...
Sinon je me suis fadé la projection presse.
2heures 25 ...
Mon cadreur a dormi ...
The pitch
Dans ce nouvel opus de l’aventure Pirates des Caraïbes, le toujours aussi excentrique pirate Jack Sparrow est confronté subitement à son passé. Treize ans auparavant, Jack signait un pacte avec Davey Jones, le maître des sept mers, dont l’esprit maléfique n’a d’égal que son apparence tentaculaire. En échange de son âme, ce dernier lui promettait le commandement du mythique Black Pearl…
Aujourd’hui, Jones vient donc récupérer sa dette. Mais donner son âme à Jones est sans issue, il n’y a pas de rédemption possible, c’est devenir comme tous les membres de son équipage maudit, un fantôme au physique aussi repoussant que terrifiant. Pour éviter ce sort funeste auquel Jack ne tient pas vraiment, il n’a qu’une solution : retrouver le coffre maudit de Jones où sont cachés les âmes emprisonnées…
Une nouvelle quête aussi périlleuse que spectaculaire commence alors pour Jack à laquelle il ne peut s’empêcher de mêler le jeune couple composé par le fougueux Will Turner et la ravissante Elisabeth Swann…
Ça c'est pour la version officielle pour faire plaisir à mon joli pote de Disney ....
Pour le reste Johnny Depp est de plus en plus folle avec ce personnage inspiré des déhanchements sur scène de Keith Richards.
L'histoire ne rime à rien et s'arrête au bout de deux heures vingt-cinq, car comme me l'a dit Orlando ce film n'est qu'un grand film tronçonné en deux parties, dont on ne verra la fin qu'en 2007.
A moins que cela ne fonctionne vraiment, et que comme me l'a confirmé Bruckheimer il n'y ait une suite à la suite.
Au vu des résultats américains, c'est bien parti !
133 millions de dollars pour le premier week end d'exploitation et plus de 22 millions de spectateurs.
Le film pulvérise au box office les records détenus par Star Wars, Spiderman et tutti quanti.
Superman aura fait la même recette en 11 jours ...
Va falloir que je m'habitue à croiser Johnny et Orlando ...