Tout mou 1er, roi de Socialie...

François, le gros tout mou, qui sous l'emprise allemande s'est mis à dégonfler, tandis qu'enflaient ses ambitions.
Lui qui, naturellement à la tête du parti, aurait du installer sa candidature.
Mais toujours habitué à satisfaire tout le monde a instauré des primaires.
Laissé gagner sa compagne de l'époque.
Compagne à qui il a torpillé la campagne.
Comme s'il regrettait de ne pas y être allé.
Pour nous faire croire maintenant qu'il aime la France comme son illustre voisin de Corrèze...
Il n'y guère que Chirac pour croire à ce énième mensonge.
Donner les clés de la France à quelqu'un qui manque tant d'ambitions...
Qui a un tel esprit de ne pas faire la guerre, de ne pas se battre pour imposer ses idées.
D'être absent lors du landerneau politique pour ne pas vexer personne...
Comment croire à cet homme là ?
Cela fait plus d'un an que j'essaye et je n'y arrrive pas.
Pourtant, en privé, c'est un homme charmant.
Cultivé.
Drôle.
Jouant avec les mots.
Mais un Président ne doit pas jouer avec les maux.
Ceux de ses concitoyens.
Les Français.
S'il veut une France plus juste, il lui faut l'instaurer dans les deux sens.
En haut.
En bas.
Français de souche.
Étrangers.
Immigrés.
Il faut dire.
Ne rien cacher.
Ne pas laisser un terreau vague où les extrêmes y font grandir la haine et la détestation.
Il faut demander aux Français d'être courageux.
D'être moins assistés.
De savopir que la France du Général de Gaulle n'est plus.
Que la splendeur est passée et que devant nous il y a le mur.
Que les retraites, l'ANPE, le capitalisme sont voués à l'échec si nous ne sommes pas solidaire.
En bas où c'est plus difficile.
En haut où c'est plus facile.
Arrêtons de vivres dans une société d'assistés.
Passons dans une France solidaire à tous les niveaux.
Mais ne soyons pas non plus poujadistes.
Soyons honnêtes avec nous-mêmes.
Nous irons déjà mieux !