L'année dernière déjà...

J'écrivais le texte ci-dessous.
Il n'a pas pris une ride !
Avec tous les scandales autour des nominations des directeurs de théâtres publiques...

"L'oprtuniste de Villerupt;
Voire de viles ruptures.
Le parcours de la jolie ministre de la culture en est jalonné.
De bonnes études.
Une revanche sur la vie et sur son passé d'immigrés italiens.
Une belle revanche qu'elle offre à son papa qui ne la verra jamais ministre.
Qui ne l'aura pas vue renier les verts à cause d'une mauvaise et interdite investiture.
Sentant le vent tourner en Socialie, la belle de l'est rejoint Ségolène Royal en 2007, bat la campagne...
Puis sentant peu à peu le vent tourner, préfère se faire adouber par François 1er et devenir membre de la gouvernance de la Socialie.
Il fallait la voir sur scène haranguer les foules lors des meetings du bon François.
Le comble fut celui de Bercy, où l'ambition personnelle rejaillissait tellement, que certains dans la salle étaient consternés.
Et puis vint l'heure des récompense.
Pour Aurélie ce serait la culture puisqu'elle avait écrit un roman.
La voilà sous les ors du pouvoir.
En son ministère de Valois.
Mais las, l'ambition ne suffit pas.
Culture ne rime pas avec petits fours et biture.
Culture rime avec travailler dur.
Faire rêver de la France dans le monde entier mais aussi gérer France Télevision, avec peu d'argent.
Car il a bin fallu retomber sur terre après les rêves de François 1er de Socialie : l'argent n'est pas là.
Il aurait tendance à fuir comme tous les Bernard Arnault de la terre.
Pire comme une passoire UMP modèle 16ème arrondissement !
Et puis il faut savoir s'entourer.
Pas copiner !
S'entourer, et voilà que le piège de la jeunesse se referme aussi.
Qui dit jeunesse ne dit pas compétence, ni connaissance.
Certes il faut remanier.
Certes il faut faire rayonner, mais avec intelligence.
Le gros chantier de la belle de l'est sera bien celui de France Télévision.
Continuer de produire et d'innover en toute liberté, moins surveillé que lorsque le Nain de l'Elysée nommait gouvernants et journalistes.
Il faut de l'audacec comme disait Elkabach qui est sans doute celui qui en a donné le moins au service oublic.
Tout ce qu'il a donné il l'a donné aux voleurs de patates qui ont construit des empires sur le dos des pauvres contribuables que nous sommes.
Il faut de l'audace, un peu comme celle de Marc Tessier qui fut remercié comme un mal propre parce qu'il ne plaisait pas à l'pouse du Président de la République de l'époque.
Le suivants n'ont certes pas fait du mauvais travail, mais...
Et puis le dernier en date qui se bat pour sauver les meubles.
Qui n'a rien fait que faire vieillir la moyenne d'âge.
Y'a moins de publicité sur le service public et en plus celles qui restent sont pour les couches Confiance !
On a innové certes sur quelques séries, mais sur le reste.
Les journaux télévisés à l'emporte pièce avec des Ken et des Barbie qui ânonnent des textes plein de fautes de français.
Aucune réflexion sur ce que veulent vraiment les Français.
Des audiences qui baissent.
Des publics qui vieillissent.
Plus d'audace.
Chacun tente de rester dans ses godasses.
Alors Madame la Ministre, avec vos jeunes conseillers saurez vous penser à autre chose que votre glamour et, pour le service public, essayer qu'avec les Français il retrouve un peu d'amour ?"