Mon métier...

Est vraiment en train de changer !
Cette semaine est enfin apparu aux yeux du public tout se qui se tramait dans l'ombre.
Alors que le Président de la république n'arrête pas d'envoyer ses chiens aboyer contre la presse.
Alors qu'il faisait encore monter au créneau son premier ministre jeudi soir, en lui faisant parler d'éthique.
Le nain en son château n'arrêtait pas de bouger les ficelles de ses marionnettes pour que certains médias fassent bien souffler le vent dans le sens de ses réformes.
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'ex-première dame de France : le nain serait un queutard.
Ce qui lui a valu un divorce, car ce dernier aurait eu à une époque des relations plus que rapprochées avec une journaliste.
Journaliste d'un quotidien de droite.
Qu'à cela ne tienne quand c'est du même bord ce n'est pas tromper !
Puis le Nain aurait eu une relation avec une autre journaliste.
Relation vrombissante qu'il avait fallu faire taire vite à grand coup de procès.
Puis dans sa recherche de la reconquête d'un amour vite perdu avec la rance, le Nain s'était dit qu'il lui fallait le plus beau, le fort.
Une madone des podiums.
Une reine de la chanson à texte..
Et voilà, les deux première éconduite au profit du Top  allaient repartir à leur métier.
Mais bon bien placées et protégées.
Et puis cette semaine donc : coup de tonnerre.
De là-haut en son château, le nain tirait à nouveau les ficelles, trouvant que la comédie qu'il voulait que son théâtre joue n'était pas assez proche de sa vérité.
Alors parce qu'il avait eu un jour le tort de le comparer à "petit garçon excité", l'homme aux cheveux de plastique fut lui aussi congédié.
Aussitôt remplacé par une journaliste qui se pressait d'embrayer la Une pour faire avancer le bolide de l'information sur les autoroutes voulues et dessinées par le Nain.
Le nain, lui-même proche du patron de la dame puisque lié par un pacte secret familial mais connu de tous : le deuxième étant le parrain du fils du premier.
Tout cela se faisait jusqu'ici dans l'ombre, mais en mettant bas celui que les veaux français regardaient chaque soir à l'heure de l'herbe verte qui emplissait leur écuelle, tout est revenu sur le devant de la scène.
Sans que l'éthique de la presse cette fois-ci soit mis en cause, puisque c'est la presse qui subissait l'éthique du roi de la ficelle.
Mon métier change, et j'avoue qu'en ce moment je ne m'y sens plus très bien.
A l'étroit parfois.
En relatant ce faits, je me dis que le nain de l'Elysée ne sera peut-être pas content.
Et qu'à place vous trouverez lundi peut-être un autre modèle.
Pas une Ferrari non, le Nain que je suis n'en vaut pas la chandelle.
Une mini, oui, c'est juste à ma taille !
En attendant t pour me détendre, je continue d'écouter le disque de Carla Bruni.
C'est tellement ma came !